En plein débat sur les violences policières et la pertinence d’une police municipale à Paris, le CJL a enquêté sur les dérives de la police municipale de Colombes. Dénoncée par les habitants pour sa violence et par d’anciens agents pour le népotisme, le harcèlement moral et la brutalité en interne, notre investigation révèle des dysfonctionnements qui devraient inquiéter.
Aussitôt intronisée dans cette commune des Hauts de Seine, département le plus riche de France, la maire semble s’être fixé l’objectif d’élever Colombes au standing des villes voisines que sont Neuilly, Courbevoie et Levallois. Dans sa gestion de la ville, la stratégie de Nicole Goueta s’appuie sur deux axes : l’immobilier et la sécurité. La ville connaît en effet une telle inflation de projets immobiliers -destinés aux classes moyennes et supérieures- que l’opposition s’inquiète de la rapidité avec laquelle la mairie brade son patrimoine foncier.
Mais pour attirer ces populations BCBG et changer durablement le profil sociologique de ses administrés, il ne suffit pas de préempter la moindre friche pour y ériger des immeubles de haut standing, il convient aussi de changer la réputation de la ville. Colombes défraie souvent la chronique en raison du trafic de drogue qui gangrène ses quartiers populaires et des règlements de comptes sanglants qui pourrissent la vie de ses habitants. Aux grands maux, les grands remèdes: investir dans une police municipale surarmée et, comme pour faire écho aux fantasmes sécuritaires en vogue, en confier la direction à un ex-militaire. Une politique qui préfigure à l’échelle d’une commune ce que pourraient être les pivots de la construction du Grand Paris : la gentrification et la sécurité.
De par la gestion de la ville, la stratégie de Nicole Goueta s’appuie sur deux axes : l’immobilier et la sécurité. La ville connaît en effet une telle inflation de projets immobiliers -destinés aux classes moyennes et supérieures- que l’opposition s’inquiète de la rapidité avec laquelle la mairie brade son patrimoine foncier.
COLOMBES POLICE MUNICIPALE: SAISON 2
La nouvelle mouture de la Police municipale présente une nouveauté: elle s’est vue adjoindre un Groupe de Sécurité et d’Intervention (GSI), chargé d’une mission dans les quartiers populaires de la ville, qui s’apparente à une guerre urbaine digne de la bataille d’Alger. « Nous nous battrons rue par rue, immeuble par immeuble » avait en effet déclaré l’édile en plein conseil municipal.
Vitrine de la politique sécuritaire de Nicole Goueta, la police municipale fait l’objet de toutes les attentions, comme en témoignent les moyens financiers qui lui sont consacrés. Son budget a bondi de 30% par rapport à la mandature précédente pour s’établir à 5,8 millions d’euros, soit plus du double du budget moyen pour une ville de moins de 100 000 habitants. Madame la Maire s’est, en effet, donné les moyens de ses ambitions sécuritaires : 5 véhicules sérigraphiés, 5 motos, auxquelles s’ajoute l’acquisition récente de 6 nouvelles Ducati, 2 scooters MP3 et 6 VTT.
“… Beaucoup d’agitation, de médias et de sirènes dans la rue, mais peu de résultats tangibles” Un élu d’opposition
Côté effectifs, le nombre d’agents est passé de 40 à 65 avec à leur disposition un arsenal digne de la Brigade Anti Criminalité (BAC): 65 pistolets semi-automatiques de 9mm, 6 flash balls, 4 tasers, des gilets pare-balles lourds, 4 boucliers, 4 maîtres-chiens, des radios-communications individuelles, 2 radio-conférences de la Police Nationale, sans compter les 89 caméras de vidéosurveillance disposées aux 4 coins de la ville. « Les moyens qui étaient alloués à Colombes sous le précédent mandat étaient suffisants et adaptés.
Il n’y avait pas besoin de surenchérir », explique Luc, ex-policer municipal sur la ville de Colombes, qui s’inquiète par ailleurs d’une militarisation croissante de la police municipale. Une analyse partagée par un élu de l’opposition qui a requis l’anonymat, résolument opposé à la Police Municipale, qu’elle soit armée ou non. Selon lui, la sécurité doit demeurer une mission régalienne de l’Etat. L’existence même de ces polices instaure, selon l’élu « une discrimination territoriale en matière de sécurité», et « quand on fait le bilan, poursuit-il, ce n’est pas forcément positif, il y a beaucoup d’agitation, de médias et de sirènes dans la rue, mais peu de résultats tangibles ».
Faute de résultats, la mairie décide de prendre en main l’image de sa police municipale. Et pour cela, rien de tel qu’un reportage choc diffusé sur NT1 (aujourd’hui TFX, chaine tv du groupe TF1), montrant une police dévouée à la sécurité des colombiens, ne reculant devant aucun péril.
150 000 EUROS POUR UN REPORTAGE À LA GLOIRE DE LA PM PAYÉ PAR LE CONTRIBUABLE ?
Mais le temps du reportage n’étant pas celui de la lutte contre la délinquance, la production ne s’est pas encombrée de déontologie et n’a pas hésité à recourir à la mise en scène. C’est ainsi que les agents de la police nationale qui ont fouillé l’un des jeunes appréhendés devant les caméras par la police municipale pour détention de stupéfiants ne trouveront aucune substance illicite sur lui.
“Ce sont des cowboys !”
Ce reportage à la gloire de la Police Municipale de Colombes ne serait-il pas tout simplement un publi-reportage ? D’après deux sources concordantes, l’une au sein de la mairie et l’autre au sein même de la police, la municipalité de Colombes aurait financé la société de production –Pallas Production- à hauteur de 150.000 euros. Une dépense qui n’apparaît pourtant pas dans les délibérations du conseil municipal. L’adjoint chargé des questions de sécurité, Jean-Paul Bolufer n’a pas répondu à nos sollicitations.
“A part rouler des mécaniques, persécuter les vendeurs de marrons et de cacahuètes sur le Boulevard Charles de Gaulle, ils ne servent à rien” Ali, résident du quartier de l’Europe
En interne, le retour de Mme Goueta aux affaires s’est également traduit par une véritable purge au sein de la police municipale puisque la quasi totalité de l’équipe du mandat précédent a été remplacée. La majeure partie des nouvelles recrues vient du nord de la France et serait issue des rangs de la gendarmerie. « Des policiers de moins d’un mètre 70 et 60 kilos, il n’y en a plus », affirme Stéphanie, ex opératrice de vidéo surveillance au sein de la police municipale. « Maintenant vous avez à faire à des colosses qui poussent de la fonte quand ils ne sont pas en service et qui sont là pour casser. Ils sont grassement payés, poursuit-elle, avec des salaires qui oscillent entre 2300 et 3000 euros, en raison des heures supplémentaires qui leur sont allouées ». Le salaire d’un policier municipal oscille entre 1537 euros à 1900 euros brut.
UNE POLICE MUNICIPALE QUI VA BIEN AU-DELÀ DES MISSIONS QUI LUI SONT ASSIGNÉES
Conformément à l’article 21 du Code de procédure pénale, les policiers municipaux ont la qualité d’agents de police judiciaire adjoints, ce qui les autorise à verbaliser les contrevenants pour des infractions au code de la route ou aux arrêtés municipaux. Ils ne peuvent, en revanche, procéder à des contrôles d’identité sans avoir, au préalable, constaté une infraction, ni procéder à des fouilles au corps ou à des fouilles de véhicules. “Ces ex-gendarmes ont eu des formations qui ne sont pas adaptées aux besoins d’une police municipale”.
Ceci étant, Colombes le Mag, le journal municipal de la ville nous informe que la P. M. a procédé à 215 interpellations sur la première année d’exercice du deuxième mandat. Les policiers municipaux – comme n’importe quel citoyen- sont bien sûr autorisés à appréhender, y compris par la force, l’auteur d’un crime ou d’un délit flagrant, pour le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche, en application de l’article 73 du Code de procédure pénale. Mais il y a l’art et la manière. Une commerçante du centre ville souligne le professionnalisme de la police municipale de proximité, bien implantée dans la ville et ses quartiers populaires mais s’inquiète de la brutalité du GSI, (Groupe Spécial d’Intervention).
« C’est des cowboys ! Ils se comportent comme des brutes notamment dans les quartiers populaires ». Un témoignage corroboré par Stéphanie* ex-opératrice de vidéosurveillance qui confirme que « ces ex-gendarmes ont eu des formations qui ne sont pas adaptées aux besoins d’une police municipale. Ces GSI outrepassent trop souvent les limites de leurs prérogatives. »
Lacrymogène et passage à tabac des jeunes manifestants en soutien au jeune Théo
Gros bras et une formation inadaptée, sur le terrain, cela se traduit inévitablement « par des faits de violences » affirme sans hésiter Stéphanie* qui, depuis le centre de contrôle de vidéosurveillance était bien placée pour les observer. En qualité de chef de poste, elle était aussi l’interface entre les agents de la PM sur le terrain et les officiers de police judiciaire. L’opératrice évoque notamment la brutalité avec laquelle les GSI ont réprimé des lycéens et des étudiants qui manifestaient justement contre les violences policières, à la suite du viol du jeune Théo à Aulnay Sous Bois. Les policiers n’avaient pas hésité à «faire usage de gaz lacrymogène, à porter des coups contre les jeunes, à les jeter au sol. A 16 ans, ça reste quand-même des mômes ».
« ça se termine systématiquement en outrage »
Stéphanie*, s’interroge également sur le fait que de simples interpellations pour vérification d’identité finissaient le plus souvent en outrage. « Le policier municipal sur le terrain m’appelle pour signaler une interpellation d’un individu pour vérification d’identité. Donc conformément à la procédure, j’avise un officier de police judiciaire qu’un contrôle d’identité est en cours. Mais lorsque la personne appréhendée arrivait au poste, elle avait toujours la gueule amochée ». Et pour couvrir la violence des GSI, sa hiérarchie n’hésitait pas à lui demander de modifier sa main courante (déclaration faite à la Police Judiciaire), ce que Stéphanie s’est toujours refusé de faire. Elle découvrira cependant, plus tard, que plusieurs de ses mains courantes avaient été modifiées à son insu.
“La Police municipale est à l’image du Maire”
La brutalité des méthodes du GSI a, en outre, contribué à entamer le capital de sympathie de la pol-prox (police de proximité) auprès de la population. Une police qui, sous la mandature précédente, avait investi les quartiers sensibles et avait tissé des liens avec les habitants et l’ensemble des acteurs sociaux.
Plusieurs policiers de proximité ont eu maille à partir avec la population au cours d’incidents insignifiants avant de découvrir qu’une intervention des GIS avait eu lieu la veille. Même cas de figure avec les agents de la police nationale qui ont été pris à parti à de nombreuses reprises par des habitants en réaction à une intervention des GIS quelques heures auparavant. Avec comme conséquence, une détérioration des relations entre les deux corps de police.
Pire encore, selon Stéphanie, les colombiens, qu’ils soient résidents des zones pavillonnaires ou des grands ensembles, n’appellent plus la police municipale « soit disant, parce qu’elle ne se déplace jamais, alors qu’en réalité beaucoup renoncent à l’appeler car ils la craignent ».
Profil bas et sentiment d’inutilité
Pour Ali, gardien d’immeuble et habitant du quartier populaire de l’Europe, « la Police municipale est à l’image du maire : Nicole Goueta est le maire du centre-ville de Colombes, et sa police municipale ne s’intéresse qu’à à la sécurité des habitants du centre-ville et des zones pavillonnaires. D’ailleurs on ne les voit plus trop dans nos quartiers ».
Mais Ali ne semble ne pas les regretter pour autant : « A part rouler des mécaniques, persécuter les vendeurs de marrons et de cacahuètes sur le Boulevard Charles de Gaulle, ils ne servent à rien et quand ils interviennent, ils sont dans la précipitation et la panique». Si Ali n’a jamais trop porté la police en général dans son cœur, il reconnaît éprouver de la sympathie pour la Police nationale depuis qu’il a vu la municipale, nouvelle version, à l’œuvre.
Une absence sur le terrain confirmée par Luc, l’ancien policier municipal de Colombes qui remarque, non sans sarcasme : « à chaque fois que je passe devant le poste de la Police municipale, tous les véhicules sont garés devant. Si j’étais à leur place, j’irais au moins les cacher pour donner l’impression de travailler. »
La vague d’attentats qui a frappé la capitale, le renforcement du plan Vigipirate et la mise en place de l’état d’urgence ont amené les polices municipales à absorber 80% des missions de Police secours. Mais leur mission reste théoriquement circonscrite à rendre compte, à se contenter d’intervenir sur des flagrant délits, « mais en aucun cas, à enquêter ou à surveiller le trafic de drogue ». Cette surveillance leur a pourtant valu d’être accusés par des dealers -qui se sont néanmoins, rétractés lors de leur procès- de percevoir des enveloppes d’argent en échange de leur silence sur leurs activités « commerciales ». https://actu17.fr/hauts-de-seine-le-trafiquant-de-drogue-propose-3-000-e-par-jour-aux-policiers-municipaux-pour-fermer-les-yeux/
Chasse aux mineurs dans les quartiers populaires de la ville
C’est cette même police municipale qui a été chargée d’appliquer le couvre-feu imposé aux mineurs non accompagnés dans les quartiers populaires du Petit-Colombes, des Fossés Jean et du quartier de l’Europe de 22 heures à 6 heures. Deux fois promulgué par la mairie, et deux fois suspendu par le tribunal administratif -sur requête de la LDH- (Ligue des Droits de l’Homme), l’arrêté municipal ne fait pas l’unanimité auprès des policiers, qu’ils soient municipaux ou nationaux. D’après Laurent*: « Les policiers ont autre chose à faire que de se livrer à la chasse aux mineurs (…), en plus c’est inefficace et inapplicable, c’est une mesure d’affichage ». L’arrêté de 2018 a été pris à la suite d’une fusillade survenue dans le quartier dit du « Petit Colombes » au cours de laquelle 4 adolescents ont été blessés par balle.
« Une altercation a conduit un mineur à l’hôpital”
Mais comme le rappelle Mohamed, un habitant du quartier qui met, lui aussi, en doute l’efficacité du dispositif : « la fusillade a éclaté autour de 20h00 ». Stéphanie, encore en poste lors du premier couvre-feu, assure qu’il n’a produit aucun résultat tangible et qu’il avait principalement pour objet de « justifier la présence des effectifs de police la nuit ». Mais il en faut plus pour décourager Mme la Maire qui a qualifié la décision rendue par le tribunal administratif d’« aberrante » et promis de rééditer l’arrêté.
Un bon soldat violent et sa gâchette
Pour appliquer son programme sécuritaire, Nicole Goueta s’est assuré l’allégeance de bons soldats parmi lesquels le chef de service de la Police municipale, Samy Karout, ancien ASVP (agent de surveillance de la voie publique) promu chef de service.
Selon Stéphanie qui a très vite regretté son prédécesseur, « Mr Karout a, dès sa prise de fonction, fait du favoritisme et distribué les heures supplémentaires aux agents qui accepteraient de le suivre dans ses interventions musclées ». L’une d’elle aurait d’ailleurs conduit, durant l’été 2017, à l’hospitalisation d’un mineur, victime d’une fracture faciale occasionnée par un coup portée par le chef de service en personne. Le père de la victime a porté plainte et Samy Karout a, selon nos sources, été arrêté et entendu par un officier de la PJ.
Le chef de service est également le co-artisan de la purge opérée au sein de l’équipe de policiers municipaux. Et pour y parvenir, Karout aura fait feu de tout bois : harcèlement moral, menaces et insultes. Stéphanie* qui a été radiée des effectifs de la Police municipale au terme de nombreuses années de service et de plusieurs mois de harcèlement a fini par porter plainte devant le tribunal administratif puis le tribunal correctionnel. En plus de menaces verbales, Mr Karout n’a pas hésité à jouer, dans son bureau, avec la gâchette de son arme de service –en principe, chargée- devant Stéphanie pour précipiter le départ de celle qui était devenu indésirable.
“Mr Karout a rédigé un rapport à charge accusant un agent, musulman, de radicalisation. L’intéressé a porté plainte pour diffamation”
Toujours prêt à rendre service à la hiérarchie, Mr Karout a ainsi joué les auxiliaires du DRH de la mairie de Colombes en rédigeant un rapport à charge contre un agent territorial, dont la mairie voulait se débarrasser et qu’il a accusé de radicalisation. Le rapport a été adressé à la commission de réforme -instance paritaire qui statue, notamment sur les accidents de services- et selon Karout lui-même, une copie du rapport aurait également été transmise à la police nationale.
L’intéressé El Amri El Constantini a porté plainte pour discrimination au nom du syndicat CFTC des agents territoriaux des Hauts de Seine dont il est le Président. La dénonciation calomnieuse dont il a fait l’objet et qui aurait pu lui valoir de graves ennuis dans le contexte des attentats terroristes n’a pas seulement ulcéré El Amri, elle l’a aussi fait sourire : «C’est l’hôpital qui se fout de la charité. Quand on sait que Samy Karout a interdit la viande de porc au sein du réfectoire de la Police municipale et que ce monsieur se permet d’aller à la mosquée de Sannois, dans un véhicule de service de la police municipale…»
Cet abus de pouvoir de M. Karout est d’autant plus insolite lorsqu’on connaît la politique outrageusement islamophobe pratiquée par la majorité municipale, consistant notamment à harceler les commerces vendant des produits halal, à tenter de faire fermer un commerce d’alimentation sous prétexte que celui-ci ne vendait pas de…viande de porc et d’alcool.
Par ailleurs, pourquoi la mosquée de Sannois qui se trouve à 13 km de Colombes? Ou plus précisément pourquoi ne pas prier dans l’une de mosquées de Colombes ou de la ville mitoyenne, Asnières ? Karout ne serait pas en odeur de sainteté au sein de la communauté. La (mauvaise) réputation que l’homme s’est taillé dans la ville et la dénonciation calomnieuse dont Karout s’est rendu responsable ne l’aurait pas rendu très populaire auprès de ses coreligionnaires.
Un ancien colonel
Pour commander cette petite armée, il ne fallait rien de moins qu’un militaire et le choix de la mairie va se porter sur un colonel de gendarmerie à la retraite : Alain Faugeras. Cet officier de grande taille, portant beau, à la chevelure grisonnante a vu du pays : Mali, Gaza, la Corse, les Balkans. Il a été en outre, chef de la section “gestion des crises civiles” à la Représentation permanente de la France auprès de l’UE à Bruxelles. «Gestion des crises civiles », voilà qui a dû faire mouche auprès du chasseur de tête ayant repéré le CV du Colonel. Avec un militaire qui a traîné ses rangers dans autant de zones de conflits, les jeunes des quartiers populaires allaient être servis…
“Une usurpation de fonction qui pourrait valoir à la mairie de Colombes une condamnation”
Si Monsieur Faugeras se félicite dès qu’il en a l’occasion des résultats obtenus par ses policiers, il n’existe à ce jour, aucune donnée fiable permettant d’évaluer l’efficacité de la politique sécuritaire de la ville. Le trafic de drogue semble toujours aussi florissant et les fusillades entre bandes criminelles rivales éclatent avec la même fréquence qu’avant la transformation de la police municipale en unité para militaire.
Un audit a pourtant été diligenté par la mairie et confié à un cabinet de conseil spécialisé en analyse de risques. Mais outre le fait que Charle Pellegrini, à la tête de cette entreprise soit une connaissance du directeur Sécurité et Prévention de la mairie, on attend toujours que les résultats de cette étude soient rendus publics. En revanche, une pluie de plaintes, aurait, selon nos sources, été déposée contre la police municipale, ce qui expliquerait la discrétion que celle-ci observe depuis quelques mois.
Une plainte en particulier pourrait bientôt viser le colonel en personne. Comme l’atteste une lettre envoyée par la DRH à la directrice de cabinet du maire, Madame Sandrine BARBE SEFERIAN, le poste de directeur de la police municipale ne peut être occupé que par un membre titulaire du corps de police municipale, ce que Faugeras n’est pas. Qu’à cela ne tienne, le colonel sera finalement recruté en qualité de «chargé de mission de sécurité».
Mais le colonel en retraite semble ne pas avoir renoncé à diriger la police municipale comme en témoigne les différents courriers signé de sa main, que le CJL a pu consulter et qui indiquent que Mr Faugeras est bien le vrai « patron » de la police municipale.
Une usurpation de fonction qui pourrait valoir à la mairie de Colombes une condamnation du tribunal administratif s’il était saisi par un tiers comme cela a été le cas dans la ville de Nice, laquelle a été contrainte de se séparer de son directeur.L’ex-directeur de la police de Nice, jeune retraité de la police nationale, avait en outre, été sommé de rembourser tous les salaires perçus depuis sa prise de fonction.
Jean-Paul Bolufer en charge des questions de sécurité et des affaires juridiques
C’est, semble-t-il, une constante de la droite française que de prêcher l’ordre et la vertu et de vivre au-dessus des lois. Aussi l’adjoint au maire, Jean-Paul Bolufer est-il un parfait exemple des pratiques d’une certaine noblesse d’état. Ce haut fonctionnaire, proche de l’Opus Déï, ancien membre du club de l’Horloge est l’incarnation de cette droite chrétienne psycho-rigide qui s’est notamment distinguée par son hostilité au mariage pour tou.te.s.
Directeur de cabinet de Christine Boutin lorsque celle-ci était ministre du logement, il s’était indigné du fait qu’« il se trouvent dans le parc HLM des gens qui ne devraient pas y être, et que se trouvent dans la rue des gens qui devraient être dans les HLM». C’était quelques semaines avant que l’on ne découvre que monsieur Bolufer occupait une modeste HLM de 190m2 dans un beau quartier de la capitale avec un loyer bien plus modeste encore. Mais il faut croire que dans certains cercles de pouvoir, se retrouver au centre d’un scandale et faire la une du Canard Enchaîné n’est pas une marque d’infamie, mais un signe d’élection, puisque Mr Bolufer sera aussitôt nommé, par le Conseil des ministres, Contrôleur général économique et financier au ministère de l’Economie et des Finances.
Un peu à l’image de Charles Pasqua, artisan de la conquête des Hauts-de-Seine pour la droite, idole de ceux qui y ont vu un modèle de réussite en raison de son passé au sein d’une organisation criminelle et de sa spectaculaire reconversion en intraitable ministre de l’Intérieur. Il se trouve que M. Pasqua fut aussi le mentor de Nicole Goueta dont elle a été l’une des fidèles parmi les fidèles. Et nous aurons d’autres occasions de découvrir que « toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé » ne saurait être fortuite.
Ali Ouicène pour le CJL
* les noms des ex-policiers municipaux ont été changés pour protéger leur anonymat.
Je confirme tous ces dires et beaucoup d’anciens agents pourraient en témoigner aussi nous nous sommes tous tus de crainte des représailles.
Leur bilan d’activité est nul et trafique. Les personnes en place n’ont rien créé ils n’ont fait que détruire la vie de gens….
J espere que tous seront punis.c est plus qu honteux ce qu ils font :bon courage à vous et aux autres dans vos nouvelles fonctions.
Je confirme, après avoir été présent à la création de la pm et avoir fait 14 ans de service, qu’il y a du favoritisme, du copinage, du harcèlement et bien d’autres méthodes encore utilisée à ce jour. le bilan d’activité n’est pas la réalité. C’est un gâchis. Il faut que les anciens partent pour recruter des jeunes qu’ils pourront manipuler par la crainte, les menaces verbales et autres méthodes déstabilisantes. La hiérarchie en place ne fonctionne que par les menaces (même physique de la part de gradés).
La fameuse Stéphanie qui aura touchée la prime préfecture, iat à 8 et 25 heures supp de nuit chaque mois et sans les faire. Un salaire à 2500 net pour une simple agent technique de 2eme classe. Ça choque personne ?
Un ancien chef de service qui n’était même pas titulaire du concours mais touchait en toute impunité un salaire mirobolant. Ce même soi disant chef de service qui promettait des grades aux agents féminines en échange de coucherie. Cette fameuse époque où on couvrait les agents qui en braquaient d’autres dans les vestiaires. Une époque où on interpellait rarement parce qu’un passage à tabac suffisait. Une époque où certains revendaient du matériel police dans les cités. Une époque où on gardait l’argent du dealer en échange de sa liberté. Tout ces agents qui se sont gavés au frais de la princesse et qui maintenant montre du doigt une nouvelle PM qui aura débarrasser la ville de tout ces manges merde… Comment peut on vouloir fait passer ses propres dérapages sur le nom des autres ? Cela démontre l’état d’esprit qu’il régnait vie avant la mise en place d’une nouvelle hiérarchie qui aura mis en place une vrai PM.
Axel Erateur, pour faire de telles accusations il ne faut pas rester anonyme…
Dixit les PM approuvant un article dont les noms des contributeurs ont été modifié..cet article n’étant qu’un fake news de plus. Mes accusations sont fondées et marquées noir sur blanc sur les rapports de l’igpn. Une vidéo ne ment pas, surtout quand un agent met un coup de boule à un riverain lors d’un simple contrôle. On oubliera pas un certain PM surnommé Moustaphe qui traité ses collègues black de pelle à charbon. Pour certains c’était des patrouilles véhiculées avec des agents en état d’ivresse. Pour d’autres les renforts de nuit étaient l’occasion d’organiser des parties de jambes en l’air. Bertrand Com un brigadier chef nommé chef de service alors qu’il n’avait même pas le concours du poste qu’il occupait. Un homme violent, narcissique qui n’embauchait que des agents du même acabit que lui. Des culturistes gonflés à la testostérone. D’ailleurs Mr Com avait pris soin de monter 2 équipes de nuit. Une équipe de blanc et une équipe de Black.. Mais pas d’amalgame… Et Didier Val parlons en.. Un homme qui aura profité du bizness des Gilets pare ball. Un homme qui a marché dans les pas du premier chef de service avant de participer à l’éviction de celui ci…Et parlons aussi d’un culto reconvertit en pêcheur, cet agant qui aura braqué son collègue dans le vestiaire. Et l’agent fils d’un baqueux qui avait une croix gamée a l’intérieur de la lèvres. Parlons aussi de ce soi disant Luc, fameux adjoint de Mr Com. Le seul mec capable d’être de droite, de gauche et de manger à tout les râteliers… D’ailleurs en comparaison à Mr Com, il n’avait pas besoin de distribuer des grades pour profiter de ses collègues feminines… On continu ? Ou je garde le reste pour le dépôt de plainte pour diffamation contre ce site, le rédacteur de l’article et les commentaires qui y sont associés ? Dans cet article il aurait fallu inscrire le nom des anciennes hiérarchies qui pour le coup était très représentatives de ce qui y est décrit.
Bonjour monsieur je ne vlus connais pas mais mes gens que vous visez sont en droit de deposer plainte pour diffamation.
Je n ai pas été PM à Colombes mais je sais que plusieurs PM sont aussi peu glorieuses et c est bien triste .
Je ne suis plus dans ce cadre d emploi et j en suis ravi.
Bon courage dans votre vie professionnelle:drôle de jungle la PM en general
Je suis ancien ASVP viré comme un malpropre après avoir rendu tous les services possibles pendant plus de 5 ans. Belle récompense et un grand merci à M. Faugeras et ses sbires. Le motif de mon contrat qui n’est pas reconduit, c’est soit disant les restrictions financières. Quant on voit l’augmentation du budget sécurité, c’est vraiment me prendre pour un abruti. Je confirme une très grosse partie de ce qui est écrit dans cet article. J’ai toujours refusé de charger mes collègues de travail sans raison et de faire des faux rapports et je referais pareil si c’était à refaire. Les directeurs de cette PM sont des manipulateurs qui n’ont pas peur de faire des fausses déclarations et des faux rapports pour se débarrasser de ceux qu’il n’aiment pas. Quand on est syndiqué dans cette mairie, on ne fait jamais long feu et quand on arrive, la première chose que disent les anciens, c’est de ne pas se syndiquer sinon on se fait plomber.
Bonjour
J espere que vous êtes allé aux prud hommes.
Votre honnêteté vous honore.
Pas evident le monde de la PM.horrifiant ces faits
Bon courage à vous.
Ca ne choque personne ce passage ?????? Que fait l’IGPN ?
” « ÇA SE TERMINE SYSTÉMATIQUEMENT EN OUTRAGE »
Stéphanie*, s’interroge également sur le fait que de simples interpellations pour vérification d’identité finissaient le plus souvent en outrage. « Le policier municipal sur le terrain m’appelle pour signaler une interpellation d’un individu pour vérification d’identité. Donc conformément à la procédure, j’avise un officier de police judiciaire qu’un contrôle d’identité est en cours. Mais lorsque la personne appréhendée arrivait au poste, elle avait toujours la gueule amochée ». Et pour couvrir la violence des GSI, sa hiérarchie n’hésitait pas à lui demander de modifier sa main courante (déclaration faite à la Police Judiciaire), ce que Stéphanie s’est toujours refusé de faire. Elle découvrira cependant, plus tard, que plusieurs de ses mains courantes avaient été modifiées à son insu.
Je confirme les propos de mon ancien collègue M.Goughbar sur les faux rapports . Le harcelement moral et psychologique et moral à l arrivee de faugeras et de ses adjoints. Le management par la terreur
L igpn doit être debordée avec la PN et tous ces faits mediatisés depuis les gilets jaunes notamment.
La PM est trop politisée.dommage
Bonjour je confirme les propos de monsieur GOUGHBAR concernant les ASVP à l arrivée de M.Faugeras et de son equipe en 2014 ils ont mis en place un systeme de harcelement moral de persecution de certains asvp qui defendaient leurs droits et ils avaient recours aux faux rapports sanctions rappel à l odre convocations incessantes et harcèlement psychologique.
J ai ete asvp pendant 5 ans et des l arrivée de m.faugeras et de ses adjoints en 2014 on a vu progressivement s installer un systeme de harcelement moral et psychologique avec la redactions de faux rapports par d autres collegues asvp des pressions psychologiques des mises à l ecart et des convoctions incessantes. Je precise que j ai ete personnellement victime de ces agissements
Courrier recommandé adressé à la maire (et reçu par elle) qui n’a jamais répondu ou donne de suite. En plus, le salarié était en cdd du 1er janvier au 30 juin et bien sur menaces de karoutte, il a ramené son arréte municipale et l’adjointe au personnel lui en a donné un autre qui s’arretai le 28 février,veille du jour où il s’est fait virer comme une merde … apres avoir été obligé de se changer devant chuberre dans le vestiaire hommes !!! le salarié a fini en suivi psychiâtrique durant plusieurs mois et a toujours peur de porter plainte. La police a ete averti sans succès ou résultat.
FAC SIMILE
« Madame le Maire,
Ce jours, le mardi 1 mars pendant mon service de sécurité de la voie publique j’ai eu une prise de contact avec Me Shoubert et Mr Karout. Madame Shoubert la vitre ouverte de la voiture (clio grise) m’a salué j’ai fais de même, elle m’a demandé si elle pouvait me parler je lui ai dit oui, ils se sont stationné d’une façon précipité en queu de poisson et sont sorti du véhicule à vif allure. Celle-ci m’a reproché de ne pas porter mon casque de vélo sur la tête correctement. En effet le casque à tendance à basculer en arrière malgré qu’il soit attaché à mon corps. Je lui est répondu que je ne suis pas sur le vélo mais que je ferai comme elle le voudrait en le redressant, je voulais aussi lui dire que le cadre interieur du casque (décollé) que j’arrive à le coller mais qu’il se redécolle à chaque fois. Le casque est auprès de D….. D…….. ce que vous pourrez verifier. Mais Mr karout s’est interposé en me disant que c’est ma chef je lui est répondu que je le sais il m’a dit ensuite en me faisant plusieurs réflexion à la foie l’une derrière l’autre « il faut lui repondre oui Madame et non si vous le voulez » « Votre casque est à l’envers » je lui ai répondu qu’il est à l’endroit il s’est ensuite adressé à Madame Shubert et lui a dit « si vous saviez ce qu’on a fait pour lui en a écrit au procureur » et m’a répliqué d’un coup « c’est grâce à nous si vous avez un emploi que vous êtes sous contrat que mon problème serait réglé , il me le renouvellerai pas », je lui ai dit qu’il pouvait y mettre un terme quand il le voudra, mais il n’a pas aimé et m’a dit de ne pas parler avec les mains je lui est dit répondu que je suis tout a fait correct que ces ma façon de parler que je suis tout a fait correct. Sa fait bientôt 9 mois que je suis dans le service et j’ai travaillé avec plusieurs Gardien de square et en equipe …. j’ai travaille au square …. papim avec M….., f……. square caillebotte avec M…….. S….., M…, D….. et m’a façon de m’exprimer n’a jamais derangé qui que ce soit bien au contraire. D….. D……. et A…. b……. mes chefs d’equipe savent que je suis toujours près à rendre service et me rendre volontaire à travailler quand il y a des absences, des problèmes de fermeture de square ou des imprévu de dernière minute. Une foie que j’ai dit a Monsieur Karout que ma façon de parler avec mes mains est correct, il m’a dit ensuite en s’affirmant « Vous avez maintenant à faire à un policier judiciaire » il s’est redréssé devant moi m’a demandé « Tournez vous contre le mûr et donné moi notre pièce d’identité et m’a saisi le bras voulant me provoquer et prêter la confusion total de cet situation tout à fait normal. Son intention été de mumillier, me rabaisser dans ma fonction en pleine gare de Colombes rue Victor Hugo alors que j’étais en service. J’ai refusé ce contrôle ridicule en décrochant son bras du mien puisque celui ci a déjà toute mes coordonnées dans son bureau. Je leur est dit que la caméra de la Gare de Colombes temoignerai de leur action, il s’est arrete et m’a demandé de rentré chez moi que mon travail prendrai fin dès cet instant et de leur rendre les vêtements au vestiaire, Mr Karout m’a dit « de toute façon si tu les rends pas je te les facturais sur ta paye » faisant un légé sourir. Au vestiaire j’ai rendu le vélo, mon casque et mon portable, D…… était là Mr Karout et Me Shoubert était là attendant que je leur remétte les vêtement. Madressant à Me shoubert je lui est dit « j’étais correct avec vous vous ne pouvez absolument rien me reprocher elle m’a répondu « oui, oui mais il fallait se taire » D….. l’a entendu il était là. Mr Karout m’a dit en en ne parle plus de ça « vous partez, vous partez ». J’ai voulu voir le directeur Mr Fougeras mais en m’a dit qu’il est en vacance. Mr Fougeras à voulu me conserver et je le remercie beaucoup pour cela mais Mr Samy Karout a vu les choses autrement ».
Suit la signature
Il faut les interner ces gens.j en ai connu dans une commune du 78.
J’ai oublié mais le salarié comme il a jamais eu de réponse de la maire et que son arrtété municipale a été changé (ça j’crois que c’est interdit par la loi et qu’il devrait voir avec le Prefet) et ben il a perdu quatre mois de paye, ses congés payés et la mairie s’en est tire l’cul propre; Elle doit pas être fière la maire adjointe Vallee de faire des choses pareilles sur la demande du karoutte et de ses potes. Enfin, si les juges veulent savoir ce qu’il en est, le salarié a des témoins et moi j’ai les preuves !!!
Bonsoir Melvin,
La Brigade de répression de la Délinquance des Personnes (BRDP) spécialisée dans la violence et le harcèlement est saisie depuis décembre 2016 et informée des faits avec précisions. Le policier en charge du dossier est débordé (restriction des effectifs) et la conséquence directe est que rien n’avance. Je n’en tire aucune conclusion mais un simple constat !!! Sans surprise d’ailleurs, cet article gêne sans doute puisque des menaces de plaintes ont déjà été adressée par un avocat de la ville à un site qui avait relayé l’article. Ce qui est certain, c’est que mon travail de juriste au syndicat CFTC des Agents Territoriaux des Hauts de Seine me conduit à dire que s’il y a plainte, je serai témoin de ce que j’ai vu et constaté dans cette mairie. Car cela ne s’arrête pas au service de la PM. Et ce ne sont pas les Agents de Police Municipale qui sont en cause mais bien leur hiérarchie. Et j’aurai bien des preuves factuelles à apporter au Tribunal.
je confirme les propos relatés ci-dessus sur les méthodes de management de la hiérarchie.
les responsables avaient recours au harcèlement moral, pressions psychologiques,les faux rapports, les mises a l’écart et les convocations incessantes et humiliantes.
j’en ai été personnellement victime.
Je confirme les propos relatés ci-dessus par plusieurs anciens collègues (asvp et pm) sur les méthodes de management de la hiérarchie. Ies responsables avaient recours au harcèlement moral et pressions psychologiques, les faux rapports, les mises à l’écart et les convocations incessantes et humiliantes.
j’ai été personnellement victime des ces agissements.
je confirme les propos relayés ci dessus sur les méthodes de management des responsables de la PM, ils n’hésitaient pas a avoir recours au harcèlement moral et pressions psychologiques, avec des convocations incessantes et humiliantes, les faux rapports, la mise à l’écart et autres méthodes d’intimidation.
j’en ai été personnellement victime.
Je confirme aussi les propos relatés ci dessus sur les méthodes de management au sein de la pm. Les responsables ont recours au harcèlement moral pressions psychologiques faux rapports mise à l ecart et convocations humililiantes.
Bonjour,
Je suis le responsable du blog citoyen de Colombes : http://www.lecolombesquejaime.fr . J’ai repris la totalité de l’article pour le mettre en ligne sur le blog et le faire partager aux Colombiennes et Colombiens. Vendredi, je reçois un mail d’une personne se présentant comme l’avocat de la ville et me demandant de supprimer l’article sinon…je pourrai être poursuivi pénalement pour complicité au même titre que le blog “www.cjl.ong”. Etant un simple citoyen sans une équipe de juriste avec moi : “le pot de fer contre le pot de terre”, la décision à été prise de retirer l’article du blog et des réseaux sociaux : FB et twitter . Cependant et en fonction de l’évolution du dossier, je ne peux exclure sa remise en ligne.
Le commentaire de M Antoine RICOUR semble très intéressant et ne reste plus qu’à attendre la décision de la Mairie de Colombes.
Lionel FAUBEAU
Président de l’association citoyenne lecolombesquejaime
bonsoir ,
je confirme la maltraitance sur agent la voie publique je l’ai vécu en 2015 .
une hiérarchie qui emplois des procéder vraiment mal vaillante (harcèlement,pression ,faux rapport ,mise a l’écart des autres agents sous pression de la hiérarchie pm ,convocation a répétition, etc…).
certain agents asvp passer PM pour service rendu (copinage avec le sous directeur PM ou pour délation de ses collègues) et j’en passe .
ET J ASSUME MES PROPOS .
SYLVIE LOY
Je confirme les propos de mes anciens collègues comme eu j ai subie en 2015 le harcelement de cette hiearchie.
Tiens sylvie Loy une femme gentille, adorable et très sérieuse dans son travail. A l’époque j’étais chef adjoint et par conséquent souvent en voiture en tête à tête avec M. FAUGERAS. Un jour où l’on faisait la tournée des squares moi et M. Le directeur nous croisons sylvie LOY et là M. FAUGERAS me déclare comment veux tu que je laisse une femme aussi grosse et aussi vieille sur la voie publique. Je lui rétorque mais M. Le directeur n’avez vous pas un côté humain ? Et là il me répond M. GOUGHBAR si vous vous l’avez le côté humain démissionnez et je la garde à votre place.
Et c’est justement mon côté humain m’a coûté mon emploi.
Mme schuberre à été jusqu’à convaincre une agent de m’accuser de harcelement sexuel, affaire sans suite qui m’a salie aux yeux de beaucoup de gens.
bonjour,
je suis un moniteur d’auto école j’ai eu un grave probleme avec madame schubbert qui est travail à la police municipal elle ma percuter ma voiture en pleine léçon et elle ma falsifier un constat amiable avec ses collègues j’ai d’ailleurs signaler cet agissement au procureur de la république ainsi que à IGPN.
Bon courage à vous.
Aller un dernier ptit commentaire et j’arrête. Une fois je discutais avec M. FAUGERAS directeur de la police municipale dans son bureau nous étions seul et le sujet était le terrorisme et je lui fais par de mon avis en lui disant que tous ces gens là devraient être arrêtés et la M. Le directeur me répond mais non M. Goughbar c’est pas les terroristes qu’il faut arrêter ce sont leurs amis et là je le regarde dubitatif en lui demandant mais ce sont qui leur amis et à ce moment là il me pointe du doigt en me répondant et bien vous bien entendu ! Sinon quelques fois quand je le croisais je le saluais et lui de me réponde ba alors c’est pour quand moi étonné je lui demandais quand quoi et là il me répondait bein le depart pour la syrie tous ça parsque j’avais une petite barbe bien taillée contrairement à pas mal de policier qui avaient des barbes très épaisses. Je tiens à rajouter que j’ai été assermenté par 2 fois la dernière en décembre 2017 et que je suis reconnus comme une personne honnêtes et que j’avais déjà parlé de cela avec certains de mes collègues et serais prêt à en témoigner sans aucune crainte car la vérité est immuable.
Faites le manger au tribunal cet infame type.au vu de ce que je lis car je ne le connais pas.
Bcp d anciens militaires sont des fachos et a priori c est son cas
Il y a un bon dieu Nicole Goueta très malade vas bientôt nous quitte c est le destin
La police de Nicole Goueta à la Bodéga entrain de montré leur muscle au jeune fille si c est cas etres policier